Hello.
Depuis peur j'écrit un espèce de lvre enfin jappelerai pas ca comme ca. Mais plutot j'écrit pour mon plaisir voila j'ai commencé une histoire je ne devoilerai rien mais j'aimerai savoir ceque vous pensez de ce début d'histoire j'ai écrit 50 pages pour l'instant donc voila je publie un extrait les 3 première page .
"Tous les titres des journaux l’annonçaient, il s’agissait du quatrième suicide depuis deux semaines. D’après ce que j’avais pu entendre un inspecteur avait annoncé que la cause du décès était bien un suicide et que l’hypothèse du meurtre avait été démenti avec des preuves irréfutable. Tous c’était tranché les veines, aucune trace d’un tueur quelconque et de plus il n’y avait aucun mobile, ni de suspect et pour couronner le tout la police nous a justifier ces actes de façon complètement stupide, d’après l’inspecteur Karl « Les temps sont durs ! » Pour moi c ne sont que des idiots mais bon tout ca était le dernier de mes soucis. Ma vie au lycée n’est pas facile, nan, ma vie n’est pas facile. Il fallait dire que la vie ne m’avait pas gâté, je ne suis pas vraiment doté d’une beauté fulgurante, même si ma mère dit souvent que si les gens se donnait la peine de me connaître il verrait que je suis un garçon tout a fait charmant, mais pour moi ce ne sont que des conneries et comme si tout ca ne suffisait pas cerise sur le gâteau j’étais affublés de quelques kilo en trop. J’étais assez solitaire, je déambulais seul dans les couloirs du lycée. Il est 8h37 l’heure de la torture aussi appelé cour de math.
« _Eh ! Jimmy ?! »
La voix semblait venir d’à ma droite, c’était Steven avec sa sale manie d’oublier mon nom et cela m’agacé.
« _Heu…enfaîte moi c’est Billy ! »
Il n’en avait rien à faire mais il répondit :
« _Oué ; Billy ! Ya pas de mal … ! »
Non en effet il n’y avait aucun mal, quel con ! Petite parenthèse les êtres vivants existant dans ce monde ne m’adresser la parole que pour des raisons inutile et puis en utilisant des phrases très courte. J’attendais la réponse de Steven :
« _Tu aurais ton DNS d’espagnol ?? »
Bingo ! Je lui fis signe que non et me replongea dans mon algorithme d’Euclide. Je reçu un truc assez lourd sur la tête, sous mon bureau une petite calculette rougeâtre était séparé de son boitier.
« _Désolez Jimmy ! » Cria soudain une voix
Je me retournai face à cette soudaine humiliation. Tout le petit groupe de Steven me fixai prêt a hurler de rire si je m’emporter et m’énerver. Je répondis donc d’un simple :
« _T’inquiète ya pas de souci. »
Ils hurlèrent de rire je pense que ce que je venais de dire ressemblait de plus prêt a une imitation raté. Le professeur de mathématique défilait les exercices. Voila bien 20 minutes que nous sommes rentrées en cour qu’il a déjà fait plus d’une dizaine d’exercices. Adossé contre la fenêtre j’observais la petite cour ronde du lycée. Ennuyait par le cour j’observai du coin de l’œil Steven et sa bande. Ils m’énervaient tous. Steven était l’idole de sa bande personne n’osait rien lui dire même les profs le craignaient d’ailleurs malgré les réclamations des professeur Steven portait toujours sa casquette .Deux potiches superficielle rigolait a ses moindre blagues, et ses deux sbire Thomas et Marc. Si j’avais été un peu plus fort je me lèverai et leurs flouterai a tous une bonne raclé. Fou de rage je sentis une petite douleur dans la main comme si je plongeais la main dans de l’eau chaude puis la douleur augmenta elle devenu insupportable. Sa me bruler de plus en plus j’aurai parié ma vie que ma main aller exploser. Soudain elle me brula si fort que sans m’en apercevoir j’étais debout. Je m’étais levé et toute la classe me fixa. D’un air accusateur le prof m’inquiestonna :
« _Un problème M. Norton ? «
Je ne sus répondre. Mon silence le fit réfléchir.
«_Est-ce que tout vas bien ? »
L’air qu’il prit dans sa voix me parut presque sincère mais au fond je savais qu’il n’en avait rien a faire.
« Non ! Heu…Je dois y aller ! »
Avec beaucoup de culot je pris mon sac et bondit a travers la pièce vers la porte de la salle 131. Le couloir était frais et mes mains se refroidirent. Je soufflai adossé le long du mur. Qu’est ce qu’il vient de m’arriver ? J’examinais main. Tout était normal. Non au bout de l’index une petite trace rouge comme si je m’étais brulé au bout du doigt. Etait-ce une brulure ? Techniquement impossible."
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